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La Critique Selon Moi
4 juillet 2013

EELS – Beautiful freak (1996)

Eels - Beautiful freak

 

 

 

 

 

 

De qui parle-t-on ? :

Groupe Américain, formé en 1995, qui s'apparente plutôt au projet solo du chanteur et multi-instrumentiste Mark Oliver Everett (alias E) accompagné de Jonathan Norton et Tommy Walters.

 

De quoi parle-t-on ? :

Pop-rock alternatif classique assez mélancolique, légèrement noisy avec des propos pour le moins torturés.  On leur prête des influences Grunge par le côté ronronnant de leurs riffs et Hip-hop par l'utilisation de quelques samples.

 

Rythme :

-          Je me suis endormi dans mon fauteuil

-          Ne me perturbe pas quand je lis en même temps

-          Mes pieds se mettent à bouger

-          Je me lève et je fais la danse de l’épaule

-          Mes enfants sautent comme des cabris dans la pièce

Style innovant, à l'époque, dans l'utilisation des percussions avec une sorte de claquement à chaque coup de baguette qui, bien que les chansons soient assez déprimantes, donne un rythme assez enjouée à cet ensemble.

 

Accessibilité :

-          Après plusieurs écoutes je n’ai toujours pas saisi la mélodie

-          Plusieurs écoutes sont nécessaires avant d’apprécier la mélodie

-          Mélodie agréable mais sans aspérité

-          Les refrains entrent directement dans ma tête

-          Que des hits taillés pour les stades

Dès les premières notes de Novocaine for the soul on sait que cet album va nous plaire. Le style est direct et les mélodies collent à la peau très rapidement.

 

Audience :

-          Musique que madame me demande de réécouter

-          Peut-être écouté en famille sans déranger madame

-          Madame s’en va quand je l’écoute

-          Tellement bizarre que je fais attention d’être seul pour l’écouter

-          Tellement bruyant que mes voisins ne me parlent plus

Novocaine for the soul ou Susan's house, entre autres, ont atteint le top 10 des charts Américains et quelques titres ont été utilisés dans des bandes originales de films ou de séries.

 

Qualité audiophile :

-          J’ai l’impression que c’est mon voisin qui écoute l’album

-          Le format MP3 n’altérera pas trop l’écoute

-          S’écoute impérativement en format non compressé (CD ou autre)

On a associé Eels au mouvement Lo-fi, ce qui est assez bizarre tant la production de ce disque est impressionnante. Ici, tous les sons ressortent très clairement ce qui facilite l'écoute en MP3.

 

Conclusion :

-          Je l’ai écouté une fois mais c’est une fois de trop

-          Après plusieurs écoutes j’ai du mal à m’y faire

-          Je l’écoute facilement mais sans émotion

-          J’ai beaucoup de plaisir à l’écouter

-          Il a tourné en boucle sur ma platine

Lancé à grand renfort de publicité lors de la création du label Dreamworks Records, cet opus aurait pu être un faire-valoir indigeste tout juste là pour desservir la future multinationale du cinéma. C'était oublier l'intelligence de Steven Spielberg et David Geffen capables de détecter l'énorme potentiel d'un groupe totalement inconnu à l'époque. Beautiful freak, par son approche un peu novatrice, a installé Eels au firmament de la Pop-music.  Par la suite, la carrière du groupe a été à la fois prolifique (10 albums en tout) et chaotique selon les humeurs  psychologiques de  son leader avec quelques enregistrements majeurs comme le fantastique Daisies of the galaxy et d'autres plus sombres comme Souljacker ou Electro-shock blues.

deezer

 

http://www.deezer.com/fr/album/102371

 

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